Ferronnier Excité
si souvent je me souviens du jour où tu m'as pris par la main et où tu m'as tiré contre le mur de la cuisine et comment j'aurais dû te prendre sur-le-champ. . .c'était tard dans l'après-midi, nous étions blottis sur le canapé alors que des ruisseaux de crépuscule se déversaient à travers les stores de la grande porte coulissante en verre, des anime jouaient tranquillement sur la télévision, mes mains parcouraient votre corps, laissant notre conversation tomber en baisers, glissant nos langues l'une contre l'autre. c'est ici avec un sourire narquois, que je t'ai demandé de quelle manière tu aimais le plus être fermement pénétré : D.
N'attendant pas vraiment de réponse, j'ai senti ma poitrine devenir légère comme l'air et pleine de papillons alors que tu te levais et m'entraînais dans la cuisine, penché en avant contre le mur, tes doigts écartés comme s'ils étaient faits de velours. ton cul rond et magnifique s'appuie fermement sur la rigidité de mes hanches, et tu tournes la tête, timidement mais si mignon, pour me regarder avec tes yeux marron profonds et chauds, avec une lumière lubrique faisant allusion en eux, capturée dans la légère moue de ton lèvres.
Votre jean s'étend si étroitement et si finement sur les globes de vos fesses. Comme plusieurs fois auparavant, tu rebondis sur mes genoux, me faisant avancer, mes mains glissant autour de tes hanches, te serrant fermement tandis que ma dureté frotte à travers la fine couche de nos vêtements. Mon souffle est chaud sur ton cou, alors que tu donnes une petite poussée depuis le mur, enfonçant mon corps plus profondément dans ton pantalon, mon corps se penchant sur le tien, mes lèvres effleurant ton cou, remontant pour grignoter ton oreille et à ce moment-là, je plie un peu mes jambes, attrapant le remède pur de ton cul sur le V des muscles au-dessus de mon aine, laissant mon membre remonter pour se reposer contre la chaleur émanant de ta chatte mouillée, s'infiltrant lentement à travers ton jean pour se mêler au précum qui s'y infiltre le devant de mon propre pantalon. Mes muscles se resserrent, frémissent contre ton dos tandis que le tissu humide tire sur la tête gonflée de mon pénis.
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